>
Camille a 45 ans, un mari par habitude, deux grands enfants, deux copines, un boulot d'avocat et... un amant. Même si ce n'est pas comme cela qu'elle décrirait sa relation avec Stephen, son amour d'adolescence, devenu adulte et qu'elle a retrouvé après presque trente ans. Camille se pose beaucoup de questions, sait qu'elle doit faire un choix, hésite, n'ose pas renoncer à une part de sa vie. le destin va l'y aider.
C'est toujours délicat quand un homme se lance dans l'écriture de romance en plaçant une femme au coeur de son intrigue. Peu d'auteur masculin ont su me convaincre dans ce registre. Et cette fois, ça ne l'a pas fait.
Je ne suis jamais entrée en empathie avec Camille que j'ai trouvé égoïste par certains côtés et trop indécise. Il est certain que le caractère de cette héroïne soit très éloigné du mien, ce qui a peut-être contribué à ce détachement émotionnel qui m'a suivi tout au long de ma lecture.
Par ailleurs, j'ai trouvé les personnages masculins trop faibles pour être crédibles bien que je pense que ce soit une technique de l'auteur pour leur donner le beau rôle sans vraiment l'affirmer.
Par dessus tout, je n'ai pas vraiment adhéré ni aux réflexions pseudo-philosophiques qui ouvraient chaque chapitre, ni à la fin du roman en elle-même.
Critique de MaggyM
Camille a 45 ans, un mari par habitude, deux grands enfants, deux copines, un boulot d'avocat et... un amant. Même si ce n'est pas comme cela qu'elle décrirait sa relation avec Stephen, son amour d'adolescence, devenu adulte et qu'elle a retrouvé après presque trente ans. Camille se pose beaucoup de questions, sait qu'elle doit faire un choix, hésite, n'ose pas renoncer à une part de sa vie. le destin va l'y aider.
C'est toujours délicat quand un homme se lance dans l'écriture de romance en plaçant une femme au coeur de son intrigue. Peu d'auteur masculin ont su me convaincre dans ce registre. Et cette fois, ça ne l'a pas fait.
Je ne suis jamais entrée en empathie avec Camille que j'ai trouvé égoïste par certains côtés et trop indécise. Il est certain que le caractère de cette héroïne soit très éloigné du mien, ce qui a peut-être contribué à ce détachement émotionnel qui m'a suivi tout au long de ma lecture.
Par ailleurs, j'ai trouvé les personnages masculins trop faibles pour être crédibles bien que je pense que ce soit une technique de l'auteur pour leur donner le beau rôle sans vraiment l'affirmer.
Par dessus tout, je n'ai pas vraiment adhéré ni aux réflexions pseudo-philosophiques qui ouvraient chaque chapitre, ni à la fin du roman en elle-même.
