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Critique de bdelhausse
Ce tome met Batman à la portée de toutes les bourses et de tous les cerveaux, oserais-je dire. A 4,90 € le tome, on vise un lectorat jeune. En privilégiant l'action teintée de pas mal d'humour, dans des scénarios fort linéaires, on vise également un public jeune, ou qui ne souhaite pas approfondir l'univers sombre et complexe du super héros.
Les chapitres sont courts, vifs. On a un Batman recherché par les forces de police, mais il a le soutien du commissaire. Par ailleurs, Batman s'est lancé dans une vindicte visant le Pingouin, élu maire, qu'il soupçonne d'être corrompu.
Batman va affronter la Société des Ombres, dirigée par Ra's al Ghul, qui essaie de débarrasser Gotham des méchants. Batman connaît l'individu, et surtout sa fille... avec laquelle il a un peu flirté.
Ensuite, il affronte, en plusieurs épisodes, la Société des Faux Visages, composée de méchants masqués, où il retrouve encore une "ex", Mlle Beaumont. Bruce Wayne va infiltrer la bande sous le nom de Malone l'Allumette. On en découvre davantage sur les relations entre Batman et Malone dans les dernières pages, et cela relance l'intérêt pour la série. C'est bien vu.
Les scénarios tiennent la route. Cadrages, bruitages, dessin... tout cela évoque les années 50 et un certain art de vivre. Cela évoque les séries TV à l'ancienne, les soaps. Il y a un peu de nostalgie sympa pour les lecteurs plus âgés. On a des clins d'oeil, dont le "Nighthawks" de Hopper. Et les plus jeunes prennent cela au premier degré. Efficace quand on vise un produit "tout public".
Les chapitres sont courts, vifs. On a un Batman recherché par les forces de police, mais il a le soutien du commissaire. Par ailleurs, Batman s'est lancé dans une vindicte visant le Pingouin, élu maire, qu'il soupçonne d'être corrompu.
Batman va affronter la Société des Ombres, dirigée par Ra's al Ghul, qui essaie de débarrasser Gotham des méchants. Batman connaît l'individu, et surtout sa fille... avec laquelle il a un peu flirté.
Ensuite, il affronte, en plusieurs épisodes, la Société des Faux Visages, composée de méchants masqués, où il retrouve encore une "ex", Mlle Beaumont. Bruce Wayne va infiltrer la bande sous le nom de Malone l'Allumette. On en découvre davantage sur les relations entre Batman et Malone dans les dernières pages, et cela relance l'intérêt pour la série. C'est bien vu.
Les scénarios tiennent la route. Cadrages, bruitages, dessin... tout cela évoque les années 50 et un certain art de vivre. Cela évoque les séries TV à l'ancienne, les soaps. Il y a un peu de nostalgie sympa pour les lecteurs plus âgés. On a des clins d'oeil, dont le "Nighthawks" de Hopper. Et les plus jeunes prennent cela au premier degré. Efficace quand on vise un produit "tout public".
