Rien de tel pour accompagner le printemps que la lecture de cette conférence sur le bonheur. L'auteur y défend sa propre définition du bonheur en se plaçant dans le droit fil d'un héritage philosophique, de
Platon à
Marcel Conche, dont il assume ou rejette les propositions. Par une oscillation entre espoir et désespoir (au sens d'absence d'espoir, sans l'idée de souffrance existentielle) il propose un bonheur tributaire de ces trois occupations humaines : connaître, agir, aimer.
Une lecture enrichissante, qui nous invite à réfléchir sur notre propre sens du bonheur.
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