Dieu sait qu'il m'énerve, ce
Sherlock Holmes, toujours si sûr de lui et pontifiant. Et pourtant l'envie m'a pris de replonger dans ce souvenir d'enfance, j'avoue sans déplaisir.
Car cette fois-ci ce n'est pas lui qui tient la vedette, mais le fidèle Watson, enfin moins effacé derrière le maître que d'habitude.
Mais plus encore que Watson, c'est la lande anglaise qui prend la lumière dans ce court roman, une lumière noire et inquiétante avec ses nuits lugubres et l'ombre portée de ce terrifiant chien des Baskerville.
Sympa, bien que je ne comprenne pas bien pourquoi c'est précisément cette histoire qui tient le haut du panier dans l'oeuvre de
Conan Doyle.
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