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Critique de pascontent


J'aime beaucoup la poésie, c'est tellement poétique ! Dans " le poète " ce texte en prose, Michael Connelly nous montre tout son talent de poète bucolique. Citons quelques unes de ses plus belles pensées rafraîchissantes :
" Cet épisode m'aida à me souvenir pourquoi je n'avais jamais aimé avoir affaire aux agents du FBI. En général, ils étaient tous frappés de rétention anale...
Si vos hommes sont pas entrés dans le conduit, comment peuvent-ils savoir que c'est un cadavre ? — Oh, avec un bâton, ils ont secoué le mec. Raide comme une queue pendant la nuit de noces...
Vous m'appelez encore une fois l'As des as et je vous rentre le dossier dans le cul sans le sortir de la mallette...
Inspecteur il me semble que votre haleine constitue à elle seule un châtiment aussi cruel qu'inusité. Si, par hasard, je suis condamné, je pourrais peut-être utiliser cet élément pour faire appel...
Thorson continuait de la désirer, et Rachel le savait. Si elle lui demandait d'aller acheter des préservatifs et promettait de l'attendre dans son lit, je suppose qu'il aurait foncé immédiatement au drugstore comme un type qui a le feu aux fesses... Thorson repartit comme s'il conduisait un camion de pompiers fonçant vers un incendie...
Tu nous conduis au cadavre tout de suite. Et après, c'est le procès et la bonne petite décharge de jus de Jésus qui t'attend. Pigé ?
Je te le répéterai pas ! hurla le flic. Encore un mot et je te resserre les menottes d'un cran. Au bout d'une demi-heure, tu sentiras plus tes mains. Et comment tu feras après, pour te torcher le cul, hein ?
- Je me servirai de ta gueule. "
Quel poète, ce Connelly !
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