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Critique de nanouche


Mon cher et tendre m'a souvent conseillé la lecture d'Au coeur des ténèbres, ouvrage qui est important pour lui. Dans Kampuchéa, Patrick Deville cite aussi souvent Conrad. Cela a fini par me convaincre de m'y mettre.

Marlow, le narrateur, est marin sur un cotre de croisière sur la Tamise. Un soir il raconte à ses compagnons une aventure survenue alors qu'il était en poste dans un pays d'Afrique francophone (le Congo belge, d'après les notes). Marlow s'est fait engager comme capitaine d'un vapeur à aube par la Compagnie privée qui exploite le pays. Marlow qui porte un regard critique sur la colonisation est néanmoins fasciné par un dénommé Kurtz, personnage dont tout le monde parle comme d'une légende, homme prétendument remarquable, qui collecte plus d'ivoire que tous les autres chefs de postes et qui semble se prendre pour un dieu.

Voilà un livre fort bien écrit mais dont j'ai trouvé la lecture assez ennuyeuse et que en fait je n'ai pas compris, ceci expliquant peut-être cela. Comment Marlow peut-il s'enticher de Kurtz sans l'avoir jamais vu? Comment peut-il ne pas changer d'opinion une fois qu'il a fait sa connaissance ? J'ai le sentiment d'être passée à côté de quelque chose vu le grand cas que certains font de cette oeuvre.
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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