Il était une fois "Les idées mènent le monde" cette année à Pau. Une amie dit: « Je suis allé écouter
Paule Constant : formidable ! » et une autre rétorque : « Ah mais ouiiiii ! Tu sais qu'elle est d'ici en plus ». Comme je ne savais pas quoi dire, avec ma fichue habitude d'avoir un avis sur tout, j'ai empoigné «
White Spirit » sur le présentoir et j'ai parcouru les premières pages. Les premières lignes d'un bouquin sont comme la première bouchée d'un dessert ou un premier baiser. Elles peuvent être délicieuses, insipides, donner la nausée… Celles de «
White Spirit » sont fortes, chaudes et vibrantes, pleines de promesses, comme l'Afrique. La suite est encore mieux, lisez le.
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