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Critique de bdelhausse
Six histoires pour compléter celles que Convard avait présentées dans Les Huit jours du Diable.
De nouveau, le diable n'apparaît pas vraiment. Il est en chacun de nous, semble nous sussurrer Convard. Il se cache, prêt à sortir prestement pour nous dévaster.
Les six récits, de longueur très variable, sont présentés de manière chronologique et forment une boucle.
On démarre dans le jardin d'Eden dans un récit de SF. On continue au temps des premiers (ou derniers...) hommes. Puis vient le Moyen-Âge, la période de la Bête du Gévaudan, et deux récits de SF où les chats ont évolué, sont bipèdes et dotés de la parole. Cette évolution avait déjà été abordée dans les récits contenus dans Les Huit Jours du Diable. le dernier récit ramène le lecteur au début en reconstituant le couple originel.
On est dans la mythologie "convardienne" à 100%. Un brin de fantastique, des mythes et légendes, de la SF (on sent planer le spectre atomique), de l'humour à froid, du cynisme...
Cela dit, cet album n'ajoute rien au précédent (qui était présenté comme un one-shot). Pour fans de Convard.
De nouveau, le diable n'apparaît pas vraiment. Il est en chacun de nous, semble nous sussurrer Convard. Il se cache, prêt à sortir prestement pour nous dévaster.
Les six récits, de longueur très variable, sont présentés de manière chronologique et forment une boucle.
On démarre dans le jardin d'Eden dans un récit de SF. On continue au temps des premiers (ou derniers...) hommes. Puis vient le Moyen-Âge, la période de la Bête du Gévaudan, et deux récits de SF où les chats ont évolué, sont bipèdes et dotés de la parole. Cette évolution avait déjà été abordée dans les récits contenus dans Les Huit Jours du Diable. le dernier récit ramène le lecteur au début en reconstituant le couple originel.
On est dans la mythologie "convardienne" à 100%. Un brin de fantastique, des mythes et légendes, de la SF (on sent planer le spectre atomique), de l'humour à froid, du cynisme...
Cela dit, cet album n'ajoute rien au précédent (qui était présenté comme un one-shot). Pour fans de Convard.
