>
Critique de rmer
« le koala tueur et autres histoires du bush », Kenneth COOK. Contemporain, Australie, recueil de nouvelles, histoires apparemment véridiques sur un mec à qui ils arrivent tout le temps des trucs.
Sur la forme : l'auteur australien auquel il arrive plein de misères écrit à la première personne, il raconte vraiment ses mésaventures, et sa plume est à mourir de rire. Il sait à chaque fois qu'il exagère (du genre il se fait mordre l'entrejambe par un koala, il a l'impression que ca dure des heures, insiste qu'il a vu sa vie qui défilait devant ses yeux, agonisant, s'est longuement bagarré avec la bestiole, pour qu'ensuite une nana lui précise que ça n'avait duré que 2min à peine). Il est pétochard et sensible comme pas possible, énormément d'autodérision, très facile à lire, c'est top.
Sur le fond : chaque nouvelle est assez courte, mais tellement énorme que c'est difficile de croire que tout est vrai… A chaque fois, le mec se met dans des situations pas possible, par exemple il va faire de la plongée sous marine bien bourré avec un mec qu'il a rencontré pas longtemps avant alors qu'il a les pétoche de tout ce qui est sous-marin. Ou encore il « adopte » un chien abandonné qui lui ramène tout gentiment plein de bestioles vivantes (chaton, tortues, lapin…), une brave bête. Sauf qu'un jour, alors que son maitre boit un coup au bistrot, le chien ramène un des serpents les plus venimeux d'Australie et vient gentiment le déposer aux pieds de son nouveau maitre. Les 7 gaillards du bistrot sautent, pas fiers, sur le comptoir et c'est une mémé qui va venir les sauver en dégageant le serpent avec sa canne… C'est vraiment un bouquin délirant qui m'a fait rire à de nombreuses reprises (les usagers de la ligne H peuvent en témoigner).
CCL : coup de coeur. Vraiment, très bon petit livre que je recommande chaudement.
Mais ce n'est que mon avis…
Sur la forme : l'auteur australien auquel il arrive plein de misères écrit à la première personne, il raconte vraiment ses mésaventures, et sa plume est à mourir de rire. Il sait à chaque fois qu'il exagère (du genre il se fait mordre l'entrejambe par un koala, il a l'impression que ca dure des heures, insiste qu'il a vu sa vie qui défilait devant ses yeux, agonisant, s'est longuement bagarré avec la bestiole, pour qu'ensuite une nana lui précise que ça n'avait duré que 2min à peine). Il est pétochard et sensible comme pas possible, énormément d'autodérision, très facile à lire, c'est top.
Sur le fond : chaque nouvelle est assez courte, mais tellement énorme que c'est difficile de croire que tout est vrai… A chaque fois, le mec se met dans des situations pas possible, par exemple il va faire de la plongée sous marine bien bourré avec un mec qu'il a rencontré pas longtemps avant alors qu'il a les pétoche de tout ce qui est sous-marin. Ou encore il « adopte » un chien abandonné qui lui ramène tout gentiment plein de bestioles vivantes (chaton, tortues, lapin…), une brave bête. Sauf qu'un jour, alors que son maitre boit un coup au bistrot, le chien ramène un des serpents les plus venimeux d'Australie et vient gentiment le déposer aux pieds de son nouveau maitre. Les 7 gaillards du bistrot sautent, pas fiers, sur le comptoir et c'est une mémé qui va venir les sauver en dégageant le serpent avec sa canne… C'est vraiment un bouquin délirant qui m'a fait rire à de nombreuses reprises (les usagers de la ligne H peuvent en témoigner).
CCL : coup de coeur. Vraiment, très bon petit livre que je recommande chaudement.
Mais ce n'est que mon avis…
