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Critique de koalavolant
Troisième et sûrement dernier tome des aventures de Kenneth Cook dans le bush australien (vu que j'ai calculé, il l'écrivais l'année de sa mort... Alors à moins d'un miracle...), ce n'est pas mon préféré, parce que je préfère le tome deux, mais il était tout de même pas mal. Je l'ai lu très vite, et j'ai pas été super emportée par les histoires, parce que je sais pas trop pourquoi. Enfin si, la première était quand même pas mal, elle m'a fait rire, celle du rat sur la montagne aussi, même si je me suis dit que Kenneth Cook était un peu stupide, et pareil pour la nouvelle du chat et du chien sauvage (je me demande toujours pour la fin, qu'est ce que c'était...), le retour de l'histoire avec un aborigène était sympathique, les aborigènes sont marrants je trouve. Ou encore le coup du type avec le cricket, qui doit être ma préférée, ou bien celle du bras de fer... Alalala, en fait je les ai toutes aimées, mais pas autant que celles dans le tome précédent. Parce qu'en soit, Kenneth Cook est un type assez faible, assez associal (avec pleins d'amis, ne cherchez pas à comprendre), mais qui nous en apprends pleins sur le bush australien. J'espère juste que y en aura d'autres, je suis quand même devenue accro à ses histoires un peu fabuleuses (et sûrement romancées, mais bon, moi je me dis que non sinon c'est pas drôle).
