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Critique de Meygisan
Si Éric Corbeyran jouait la carte du suspens dans le tome 1, ce n'est plus le cas ici. Nul place au doute désormais, on sait à qui ( à quoi!) on a affaire, même si on le découvre petit à petit jusqu'à un twist final, qui concerne Asphodèle personnellement.
L'auteur reprend le passé des 3 hommes aux prises avec une menace surnaturelle, afin de nous éclairer sur la cause de leurs malheurs. Et devant le refus encore souligné d'Asphodèle de les aider directement, les choses s'accélèrent et le véritable visage des 3 hommes se révèle. face à tant d'insistance, et malgré ses craintes, Asphodèle se voit forcée d'accepter de replonger dans le monde astral, afin d'y affronter l'entité responsable des déboires de ses employeurs. Il faudra tout de même attendre une bonne moitié du tome avant de découvrir enfin ce fameux monde astral. Et c'est plutôt décevant mais je gage que l'auteur a souhaité mettre l'accent sur l'affrontement qui s'y déroule plutôt que sur sa conception. Les graphismes dépeignent un monde métaphysique, sans réelle consistance, sans paysage. L'affrontement amènera à un twist qui mettra enfin le lecteur, et Asphodèle, face à ce qu'elle redoutait le plus et qui justifiait son souhait de ne pas replonger. ils changeront alors d'aspect, insistant profondément sur les teintes rouge et bleue, plutôt sombres, et vraiment criardes. de fait les scènes violentes ou se déroulant dans le monde astral sont mises en valeur. La dernière scène qui voit la résolution de l'affrontement en question, et qui apporte certaines réponses qu'on se posait quant au personnage d'Asphodèle, sont aussi l'occasion de montrer sa ténacité. La révélation finale nous laisse dans l'expectative ouvrant de nombreuses portes potentielles pour la suite, s'il y a...
Pour avoir lu une bonne partie des séries de l'univers des stryges, écrites par Corbeyran, je trouve ici des similitudes. D'abord dans l'ambiance ésotérique qui en ressort, mais également dans le fait que des créatures puissent appartenir à un monde "parallèle" avec lesquels on peut communiquer sous certaines conditions.
L'auteur reprend le passé des 3 hommes aux prises avec une menace surnaturelle, afin de nous éclairer sur la cause de leurs malheurs. Et devant le refus encore souligné d'Asphodèle de les aider directement, les choses s'accélèrent et le véritable visage des 3 hommes se révèle. face à tant d'insistance, et malgré ses craintes, Asphodèle se voit forcée d'accepter de replonger dans le monde astral, afin d'y affronter l'entité responsable des déboires de ses employeurs. Il faudra tout de même attendre une bonne moitié du tome avant de découvrir enfin ce fameux monde astral. Et c'est plutôt décevant mais je gage que l'auteur a souhaité mettre l'accent sur l'affrontement qui s'y déroule plutôt que sur sa conception. Les graphismes dépeignent un monde métaphysique, sans réelle consistance, sans paysage. L'affrontement amènera à un twist qui mettra enfin le lecteur, et Asphodèle, face à ce qu'elle redoutait le plus et qui justifiait son souhait de ne pas replonger. ils changeront alors d'aspect, insistant profondément sur les teintes rouge et bleue, plutôt sombres, et vraiment criardes. de fait les scènes violentes ou se déroulant dans le monde astral sont mises en valeur. La dernière scène qui voit la résolution de l'affrontement en question, et qui apporte certaines réponses qu'on se posait quant au personnage d'Asphodèle, sont aussi l'occasion de montrer sa ténacité. La révélation finale nous laisse dans l'expectative ouvrant de nombreuses portes potentielles pour la suite, s'il y a...
Pour avoir lu une bonne partie des séries de l'univers des stryges, écrites par Corbeyran, je trouve ici des similitudes. D'abord dans l'ambiance ésotérique qui en ressort, mais également dans le fait que des créatures puissent appartenir à un monde "parallèle" avec lesquels on peut communiquer sous certaines conditions.
