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Critique de belette2911
Comme avec le tome 6 "À la lumière du chaos", celui-ci rassemble les Inquisiteurs découverts lors de la saison 2, reprend ceux de la saison 1 et le tout donne un album constitué d'un affrontement entre les Inquisiteurs et l'ordre noir.
Ou à la manière de l'affrontement entre Gandalf le Blanc (le juge Adrael) et Saroumane (Fedaath), montrant son armée de soldats augmentés, prêts à fondre sur Ares pour ensuite instaurer une dictature, un régime totalitaire. Rien ne change…
Le scénario n'est pas bancal, même si, avec quelques pages de plus, on aurait pu aller plus en profondeur dans les discours du grand méchant et ne pas survoler ses doléances, lui donner plus de prestance. Un méchant réussi, c'est la moitié du boulot de fait.
Les Inquisiteurs de la deuxième saison sont mis à l'honneur, c'est un plaisir de les retrouver, notamment Orlias, le nain Bakael et d'apercevoir des nouveaux venus. Hélas, ils ne feront qu'un petit tour et puis s'en iront… Dommage.
Comme pour les elfes, qui accompagnent toujours les Maîtres Inquisiteurs et qui ne seront pas présents dans ce combat. Afin d'éviter qu'il n'y ait trop de personnages dans ce douzième tome ? Et que certains tirent la couverture à eux là où d'autres se contenterons de faire de la figuration ou de ramasser les miettes ?
Autre petit souci : avec le changement de dessinateurs, l'Inquisiteur Habner (que je trouvais sexy baby et à qui j'aurais bien demandé de m'inquisiter), se retrouve avec un visage moche et une coiffure tout aussi foireuse.
Idem avec Zakariel, bel Inquisiteur au collier de barbe, qui devient banal dans ce tome, perdant même son côté animal. Dommage aussi.
Malgré ces petits bémols, l'album reste excellent, l'action est omniprésente, les Inquisiteurs vont morfler grave et j'ai été peinée de ceux que nous avons perdus en cours de route.
Les combats sont intenses, pas si faciles que ça et il va falloir être un bon stratège pour arriver à vaincre tous les nouveaux soldats aux airs teutoniques.
Ou à la manière de l'affrontement entre Gandalf le Blanc (le juge Adrael) et Saroumane (Fedaath), montrant son armée de soldats augmentés, prêts à fondre sur Ares pour ensuite instaurer une dictature, un régime totalitaire. Rien ne change…
Le scénario n'est pas bancal, même si, avec quelques pages de plus, on aurait pu aller plus en profondeur dans les discours du grand méchant et ne pas survoler ses doléances, lui donner plus de prestance. Un méchant réussi, c'est la moitié du boulot de fait.
Les Inquisiteurs de la deuxième saison sont mis à l'honneur, c'est un plaisir de les retrouver, notamment Orlias, le nain Bakael et d'apercevoir des nouveaux venus. Hélas, ils ne feront qu'un petit tour et puis s'en iront… Dommage.
Comme pour les elfes, qui accompagnent toujours les Maîtres Inquisiteurs et qui ne seront pas présents dans ce combat. Afin d'éviter qu'il n'y ait trop de personnages dans ce douzième tome ? Et que certains tirent la couverture à eux là où d'autres se contenterons de faire de la figuration ou de ramasser les miettes ?
Autre petit souci : avec le changement de dessinateurs, l'Inquisiteur Habner (que je trouvais sexy baby et à qui j'aurais bien demandé de m'inquisiter), se retrouve avec un visage moche et une coiffure tout aussi foireuse.
Idem avec Zakariel, bel Inquisiteur au collier de barbe, qui devient banal dans ce tome, perdant même son côté animal. Dommage aussi.
Malgré ces petits bémols, l'album reste excellent, l'action est omniprésente, les Inquisiteurs vont morfler grave et j'ai été peinée de ceux que nous avons perdus en cours de route.
Les combats sont intenses, pas si faciles que ça et il va falloir être un bon stratège pour arriver à vaincre tous les nouveaux soldats aux airs teutoniques.
