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Critique de belette2911


Allez, Talh'bonjour des maîtres Inquisiteurs ! Ok, jeu de mot facile.

On a beau dire que la lumière est la plus rapide, l'obscurité la précédera toujours. D'ailleurs, sans obscurité, la lumière n'est rien et vice-versa, parce qu'il faut une source lumineuse pour créer des ombres.

Une fois de plus, une équipe de Maîtres Inquisiteurs sont envoyés à la recherche d'un de leur membre qui a disparu, toute son escorte s'étant fait décimer. Mais où est Hadar (et non Ornicar) ?

Tahl était un ancien pensionnaire de la forteresse de Yagoss et je suis toujours contente lorsque les auteurs mettent à l'honneur ces p'tits jeunes qui ne savaient pas contrôler leur pouvoir.

C'est donc l'occasion de voir à l'oeuvre celui qui peut créer une nébuleuse et des ombres, ainsi que la jeune Akia, découverte dans le tome avec le maître Zakariel.

Le récit est classique, mais efficace : une opération de sauvetage, des grottes, la division de l'équipe, les p'tits nouveaux devant faire face au danger et prendre des décisions contraires à ce que Habner leur avait dit.

Par contre, une fois de plus, Habner n'est plus aussi sexy que lorsqu'il était dessiné par Lucio Alberto Leoni. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Zut alors, on avait un beau mâle et le voilà devenu quelconque !

Sinon, hormis le sexy inquisiteur qui l'est moins, le reste des dessins sont très bien exécutés.

Les saloperies de machins auxquels ils devront faire face sont des ennemis tout ce qu'il y a de plus redoutables, avec des sales gueules en prime et du mystère quant à leur race exacte.

C'est vert, ça mord, ça tue, c'est agressif, mais ce ne sont pas des gobelins ou des orcs. Qui a dit "sans doute des chasseurs écolos" dans le fond de la classe ?? M'enfin !

Dommage que le personnage de Fanellya, Maîtresse Inquisitrice au pouvoir guérisseur, mais également vampirique, ne soit pas plus mise à l'honneur dans la saga. Dans cet album, on présentait le discret Tahl, associé à la flamboyante Akia, mais Fanellya mériterait, elle aussi, un album rien que pour elle.

La troisième saison avait commencé de manière bancale, elle remonte tout doucement avec l'album précédent et celui-ci, qui, bien que de facture classique, n'en reste pas moins correct et bien fichu !
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