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Critique de chroniquesvaillantesdewallon
Ce livre est un roman de fiction qui prend comme base une histoire vraie, celle de la Shoah (l'extermination des juifs par Hitler durant la 2nde guerre mondiale).. Les thèmes abordés sont l'héritage d'un passé douloureux, la mémoire (que la mamie perd d'ailleurs). Cela se déroule à notre époque avec des jeunes mais aussi avec des adultes de toutes générations (les parents de l'héroine Elsa, et surtout sa grand-mère Claudia).
La situation initiale est la démarche d'Elsa chez une tatoueuse pour inscrire le chiffre 146298 à jamais sur sa peau.
L'élément perturbateur est l'explication de son tatouage.
Les personnages : Elsa est la narratrice, elle est jeune, lycéenne proche du baccalauréat. Elle vit un moment fort de son existence, celui d'avoir décidé de se faire tatouer le numéro de sa grand-mère dans les camps de concentration. Elle a un ami très proche, Tarek, présent lors du tatouage. Claudia, la grand-mère, atteinte d'Alzheimer, est au centre de cette histoire car c'est sa souffrance durant la déportation qui va apporter au livre cette dimension très forte.
Rachel Corenblit est un auteur de littérature de jeunesse française, née au Québec en 1969. Elle a vécu à Jérusalem, Nice, Paris, Albi et Marseille. Après des études de philosophie et diverses activités professionnelles, elle se tourne vers l'enseignement en 1997. Elle exerce aujourd'hui à Toulouse en tant que professeur des écoles. Dans ses romans, elle aborde notamment la question de l'acceptation de soi, de la différence, de la maladie.
Elle trouve ses sources d'inspiration dans le théâtre, les différents métiers qu'elle a exercés et la vie quotidienne.
J'ai été partagée en lisant ce livre. J'avais du mal à suivre Elsa qui parle de tout ce qui lui passe par la tête. Mais les moments où l'horreur est décrite (surtout le passage du bébé et de la soeur Mina morts) m'a vraiment beaucoup touchée. On n'imagine jamais vraiment à quel point l'humain a pu vivre des choses horribles.
Le livre est original avec ce fil conducteur autour du chiffre.
Il est triste aussi car la grand-mère arrive à la fin de sa vie.
Même si j'ai eu du mal à le lire, je m'en souviendrai car l'histoire est très émouvante.
Je conseille ce livre car il permet de réfléchir, surtout en ce moment avec toutes ces guerres que nous ne comprenons pas. C'est important de savoir que la guerre tue des innocents, des enfants. Quand cela touche notre famille, on réalise vraiment l'horreur et l'absurde.
Victoria
La situation initiale est la démarche d'Elsa chez une tatoueuse pour inscrire le chiffre 146298 à jamais sur sa peau.
L'élément perturbateur est l'explication de son tatouage.
Les personnages : Elsa est la narratrice, elle est jeune, lycéenne proche du baccalauréat. Elle vit un moment fort de son existence, celui d'avoir décidé de se faire tatouer le numéro de sa grand-mère dans les camps de concentration. Elle a un ami très proche, Tarek, présent lors du tatouage. Claudia, la grand-mère, atteinte d'Alzheimer, est au centre de cette histoire car c'est sa souffrance durant la déportation qui va apporter au livre cette dimension très forte.
Rachel Corenblit est un auteur de littérature de jeunesse française, née au Québec en 1969. Elle a vécu à Jérusalem, Nice, Paris, Albi et Marseille. Après des études de philosophie et diverses activités professionnelles, elle se tourne vers l'enseignement en 1997. Elle exerce aujourd'hui à Toulouse en tant que professeur des écoles. Dans ses romans, elle aborde notamment la question de l'acceptation de soi, de la différence, de la maladie.
Elle trouve ses sources d'inspiration dans le théâtre, les différents métiers qu'elle a exercés et la vie quotidienne.
J'ai été partagée en lisant ce livre. J'avais du mal à suivre Elsa qui parle de tout ce qui lui passe par la tête. Mais les moments où l'horreur est décrite (surtout le passage du bébé et de la soeur Mina morts) m'a vraiment beaucoup touchée. On n'imagine jamais vraiment à quel point l'humain a pu vivre des choses horribles.
Le livre est original avec ce fil conducteur autour du chiffre.
Il est triste aussi car la grand-mère arrive à la fin de sa vie.
Même si j'ai eu du mal à le lire, je m'en souviendrai car l'histoire est très émouvante.
Je conseille ce livre car il permet de réfléchir, surtout en ce moment avec toutes ces guerres que nous ne comprenons pas. C'est important de savoir que la guerre tue des innocents, des enfants. Quand cela touche notre famille, on réalise vraiment l'horreur et l'absurde.
Victoria
