"Réalisme magique", voilà l'appellation à laquelle est inévitablement associé
Julio Cortázar comme nombre d'auteurs sud-américains. Ceux qui, devant la géographie déjà complexe des littératures de l'imaginaire, refusent une catégorisation tatillonne au profit de la simplicité et la généralité, ceux-là peuvent considérer
Fin d'un jeu comme un recueil de nouvelles fantastiques - c'est mon cas. Les autres, sensibles aux nuances qui se dérobent au commun des mortels, peuvent toujours se demander quelle appellation, de "réalisme magique" ou de "transfiction", sied le mieux à ce recueil.
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