Un tome dans la lignée des précédents : gentiment désuet et franchement manichéen mais où on sent doucement croitre plus de finesse.
J'ai découvert Les 7 vies de l'épervier avant de lire
Masquerouge et on sent que lorsque
Cothias a créé
Masquerouge, il n'avait pas encore du tout l'idée de ce que pourrait être la jeunesse de Ariane de Troïl. de ce fait, certains éléments ne collent pas vraiment avec l'histoire qu'on connaît (mais qui n'existait pas quand
Cothias a écrit ce tome ci). de même, le personnage de Grandpin est souvent ici le personnage un peu ridicule de la série et n'a pas la profondeur et la noirceur qu'il aura plus tard.
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