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Critique de BVIALLET
Lua a quinze ans. C'est une lycéenne qui a arrêté de « croire en Dieu » et de s'imaginer « qu'il y a d'honnêtes gens sur Terre ». Elle a également arrêté de sourire aux gens et de se comporter en fille gentille. Elle veut pouvoir envoyer ch... tout le monde. En un mot comme en cent, elle est en pleine crise d'adolescence. Elle est atteinte du blues de la punkette. Son copain Eddy, autre punk suicidaire est mort en avril. Elle s'entiche de James Freak, un prof marginal qui disparaît au bout d'une année scolaire...
Court roman (111 pages, ouf!) fleur bleue et nombriliste, écrit comme un premier jet, au fil de la plume, sans vraie construction, dans un vague assemblage d'impressions, de petites anecdotes et de situations creuses et sans grand intérêt. Quelques personnages sans véritable épaisseur, une phobie des araignées (qui tourne à l'araignée dans le plafond), une affirmation redondante de la non-existence de Dieu qui tourne à la litanie et une intrigue d'une banalité à pleurer. Un style oscillant entre le verbiage et la logorrhée qui se revendique de l'influence de Salinger et McCullers, comme ose l'affirmer l'éditrice, mais là, il y a tromperie sur la marchandise !
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
Court roman (111 pages, ouf!) fleur bleue et nombriliste, écrit comme un premier jet, au fil de la plume, sans vraie construction, dans un vague assemblage d'impressions, de petites anecdotes et de situations creuses et sans grand intérêt. Quelques personnages sans véritable épaisseur, une phobie des araignées (qui tourne à l'araignée dans le plafond), une affirmation redondante de la non-existence de Dieu qui tourne à la litanie et une intrigue d'une banalité à pleurer. Un style oscillant entre le verbiage et la logorrhée qui se revendique de l'influence de Salinger et McCullers, comme ose l'affirmer l'éditrice, mais là, il y a tromperie sur la marchandise !
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