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Critique de Montecristof
Ce n'est pas vous qui faites la route, c'est la route qui vous fait. Et tout est dit.
L'écoute comme ligne de conduite et la tolérance comme garde-fou, alors tout est possible et vogue la galère d'un autostoppeur, qui se décide pour un tour de France afin de se sortir d'une impasse.
Le graphisme est bon, la mise en couleur parfois très inspirée, les dialogues souvent percutants. Au bout du compte on décolle pour un road-trip vite immersif, qui donne de la France d'aujourd'hui une image fort juste. Cette France, c'est d'ailleurs plutôt celle d'en bas, car notre stoppeur évite les grands axes et les mégapoles...
Quant à ses habitants, ceux qui se risquent à s'arrêter pour répondre à l'invitation du pouce levé, presque tous peu ou prou "derniers de cordée", ils sont, l'espace d'un trajet voire d'une journée, de vraies personnes !
La fin des 4500 bornes est une fin ouverte, mais ça tombe bien que ça reparte pour un tour au km zéro, car on en redemande !
L'écoute comme ligne de conduite et la tolérance comme garde-fou, alors tout est possible et vogue la galère d'un autostoppeur, qui se décide pour un tour de France afin de se sortir d'une impasse.
Le graphisme est bon, la mise en couleur parfois très inspirée, les dialogues souvent percutants. Au bout du compte on décolle pour un road-trip vite immersif, qui donne de la France d'aujourd'hui une image fort juste. Cette France, c'est d'ailleurs plutôt celle d'en bas, car notre stoppeur évite les grands axes et les mégapoles...
Quant à ses habitants, ceux qui se risquent à s'arrêter pour répondre à l'invitation du pouce levé, presque tous peu ou prou "derniers de cordée", ils sont, l'espace d'un trajet voire d'une journée, de vraies personnes !
La fin des 4500 bornes est une fin ouverte, mais ça tombe bien que ça reparte pour un tour au km zéro, car on en redemande !
