>
Critique de Noiredencre
Une histoire brève qui dure le temps d'un week-end.
Elliott, vit dans un pavillon avec son père assez bougon et son frère Emilio qui s'apprête à faire une fête avec ses amis.
Elliott redouble sa classe de 3e et subit un mal être profond. Il ne parvient plus à parler à personne, ne peut exprimer ce qu'il ressent. Il s'occupe d'élever des phasmes dans un bocal et se défoule en jouant sur sa guitare jusqu'à en casser les cordes.
Des amis essaient de le raisonner, le faire réagir. Il va réagir (mais pas comme on l'attendait) d'une façon violente et dangereuse.
Ce court roman traite surtout du côté psychologique du personnage et les descriptions sont bien menées dans une écriture limpide et parfois poétique. Pas de pathos inutile, la simple présentation des actions, des lieux et des pensées du personnage.
Une histoire qui reste très crédible et pourrait arriver autour de nous.
Ce roman peut donc nous ouvrir les yeux pour que nous soyons plus attentifs aux adolescents silencieux.
Elliott, vit dans un pavillon avec son père assez bougon et son frère Emilio qui s'apprête à faire une fête avec ses amis.
Elliott redouble sa classe de 3e et subit un mal être profond. Il ne parvient plus à parler à personne, ne peut exprimer ce qu'il ressent. Il s'occupe d'élever des phasmes dans un bocal et se défoule en jouant sur sa guitare jusqu'à en casser les cordes.
Des amis essaient de le raisonner, le faire réagir. Il va réagir (mais pas comme on l'attendait) d'une façon violente et dangereuse.
Ce court roman traite surtout du côté psychologique du personnage et les descriptions sont bien menées dans une écriture limpide et parfois poétique. Pas de pathos inutile, la simple présentation des actions, des lieux et des pensées du personnage.
Une histoire qui reste très crédible et pourrait arriver autour de nous.
Ce roman peut donc nous ouvrir les yeux pour que nous soyons plus attentifs aux adolescents silencieux.
