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Critique de Marcellina


Des dinosaures aux insectes, du nouveau médoc à l'arme fatale, il y a juste un immense pas dimensionnel et l'auteur l'a franchi.
Quoi de mieux qu'une micro-arme pour tuer en toute impunité...
Quoi de mieux qu'un micro-homme pour découvrir la nature dans toute sa beauté, sa puissance, sa cruauté aussi...
Et tous nos sens sont mis à contribution : l'odorat pour reconnaître les différentes effluves des plantes et des venins aussi ; le toucher pour se rendre compte de la dureté des carapaces, de la douceur des feuilles, de la solidité d'une goutte d'eau ; l'ouïe, et la découverte de la cacophonie de la nature ; la vue qui n'a pas assez d'yeux pour absorber la diversité des insectes, des plantes, des plus sublimes ou plus hideux; et le goût, car il faut survivre, et pourquoi pas une lampée de nectar ou un steak de sauterelle...
Bien écrit, bien rythmé, un livre qui se lit d'une traite...
En fait, Michael Crichton a laissé le canevas du livre avant de mourir et Richard Preston l'a développé avec brio tout en gardant l'esprit de l'auteur. J'ai bien envie de relire « Timeline » moi :-p
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