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Critique de Darlic
Il est temps avec cette ultime aventure de tirer les conclusion qui s'imposent. Fatalement le personnage de Ripley a évolué tout au long des différentes aventures. Après le moyen troisième tome du à une très mauvaise maîtrise scénaristique de David Fincher où Alan Dean Foster à fait ce qu'il a pu; ici A.C. Crispin avait du pain sur la planche, surtout quand on sait que c'est Josh Whedon qui à écrit le scénario. Pour moi ce dernier est le Monsieur catastrophe du septième art, transformant des blockbuster en gros navet. Des séries annulées quasiment à chaque fois, des films qui prennent l'eau. le défi était donc d'ampleur pour A.C. Crispin qui s'en sort avec brio. le côté que j'ai adoré dans ce romans c'est qu'on découvre les pensées de cette nouvelle Ripley. On se rend compte du combat ultime entre ces deux êtres extra-terrestre et mi-humain. L'écriture est fluide et particulièrement efficace. Je me suis toujours interroger sur l'apparition du dernier Alien (et non pas extra-terrestre comme c'est stipulé dans une mauvaise traduction de Bragelonne). Était-ce vraiment utile de le créer pourquoi ces monstres parfaits voudraient devenir aussi vulnérable que les humains ? Une fois de plus Josh Whedon se plante dans sa copie. Mais on ne peut pas en imputé cette faute à l'auteur de ce roman qui à fait un superbe boulot avec les armes misent à sa disposition. Une aventure épique qui trouve son point final, bien que nous savons qu'en science-fiction rien n'est jamais terminer...( je reviendrai)
