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Citations sur Wayward Pines, tome 1 : Révélation (31)

Il est plus facile d'accepter ce qu'on ne peut changer que risquer le tout pour le tout et se confronter à l'inconnu.
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"Depuis la révolution industrielle, nous traitons notre environnement comme une rock star sa chambre d’hôtel. Mais nous ne sommes pas des rock stars. En matière d'évolution, nous restons une espèce fragile, faible. Notre génome est corruptible, et nous avons tellement abusé de notre planète que nous avons fini par pervertir ce précieux ADN qui nous rend humains." (p. 330)
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Un unique besoin.
Theresa.
Chez lui, il se réveillait souvent au milieu de la nuit, sentait son bras contre lui, son corps collé au sien. Même les nuits difficiles, les nuits où il rentrait tard, les nuits de dispute, les nuits de trahison. Elle en faisait tellement plus que lui, tellement plus qu'il n'en ferait jamais. Elle aimait d'instinct, à la vitesse de la lumière. Sans hésitation. Sans regret. Sans condition. Sans réserve. Lui se retenait, maintenant une part de lui à l'écart, en retrait. Theresa se livrait entièrement. Tout le temps.
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Il se souvenait de six choses.
Le nom du président en exercice.
Le visage de sa mère, même s'il n'arrivait pas à se rappeler son nom, ou le son de sa voix.
Il savait jouer du piano.
Et piloter un hélicoptère.
Il avait trente-sept ans.
... Et il fallait qu'il trouve un hôpital.
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Après sa macabre découverte, il risquait de travailler en étroite collaboration avec le shérif dans un avenir proche. En d'autres termes, une main tendue était préférable à un bras d'honneur.
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Depuis la révolution industrielle, nous traitons notre environnement comme une rock star sa chambre d’hôtel.
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Tu passes assez de temps avec ton fils? Autant que je peux, a-t-il répondu, mais son père a décelé le mensonge dans son regard. -Tu le regretteras, Ethan. Un jour viendra, il aura grandi et ce sera trop tard. Et tu donneras tout l'or du monde pour revenir en arrière, passer une heure avec ton petit garçon. Le serrer dans tes bras. Lui lire un livre. Lui lancer un balon et voir une confiance sans bornes dans ses yeux. Il ne perçoit pas encore tes erreurs, tes défauts. Il te regarde avec un amour absolu, mais ça ne va pas durer, alors profites-en tant que tu peux.
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Il est plus facile d'accepter ce qu'on ne peut changer que risquer le tout pour le tout et se confronter à l'inconnu. À ce qu'il y avait au-delà.
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Une école occupait tout un pâté de maisons, entre la Cinquième et la Quatrième Avenue. Ethan boitilla le long du grillage qui ceinturait une vaste cour.
C’était la récréation. Des gamins de huit ou neuf ans jouaient à une version élaborée du bon vieux chat perché, une fille blonde avec une queue-de-cheval chassait tous ceux qu’elle voyait dans un chœur de cris et d’encouragements qui résonnaient entre les immeubles en brique.
Ethan les regarda s’amuser, tâchant de ne pas trop s’attarder sur le sang qui lui empoissait les pieds – déjà froid et gluant entre ses orteils.
La fille à la queue-de-cheval s’arrêta soudain au milieu d’une troupe de gamins pour le dévisager.
Les autres enfants continuèrent à courir et à crier, mais peu à peu, ils s’arrêtèrent à leur tour, prenant conscience que le chat ne les poursuivait plus, avant de comprendre ce qui monopolisait son attention.
Un par un, ils se tournèrent tous vers Ethan. Leur impassibilité contenait une pointe d’hostilité voilée, il l’aurait juré.
Il sourit et leur fit un petit signe de la main, malgré la douleur.
« Bonjour, les enfants. »
Pas un seul d’entre eux ne lui rendit son salut. Tous restaient là, figés sur place, comme une collection de figurines. Ils tournèrent à peine la tête pour le regarder disparaître au coin du gymnase.
« Flippants, ces petits salauds », marmonna Ethan.
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"Ce n'est pas parce que l'on est parano que personne ne nous en veut". Joseph Haller
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