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Critique de LaMinuteMAD
Attention, cette chronique risque de divulguer une partie des intrigues des tomes 1 et 2 !
Après un tome 1 thriller psychologique/SF, après un tome 2 thriller policier, voici un tome 3 thriller horrifique.
Ethan venant de révéler la vérité aux habitants de Wayward Pines, Pilcher décide de les punir en coupant l'électricité et en ouvrant le portail menant à l'extérieur, au monde dangereux où règnent désormais les « abbies », les aberrations, ces humains qui ont muté en 1800 ans et sont devenus des bêtes sanguinaires.
C'est la panique, des groupes se forment pour tenter de s'abriter, malheureusement, une grande partie de la population se fait dévorer. Mais le danger ne vient pas que de ces aberrations, car l'humain a énormément de ressources dans la cruauté.
Le roman est bourré d'action, il est ultra dynamique, on tremble pour les personnages, limite on a l'impression qu'un humanoïde monstrueux va nous sauter dessus à chaque page.
Encore une fois, j'ai adoré, et même si la fin perd en dynamisme, elle gagne en questionnements et en dilemmes.
Jusqu'où est-on prêt à aller pour sauver l'humanité ? Faut-il se sacrifier ou laisser faire la nature ? Mais aussi, quelle est la meilleure façon de gouverner pour le bien commun ? La dictature ou la (vraie) démocratie ?
Après un tome 1 thriller psychologique/SF, après un tome 2 thriller policier, voici un tome 3 thriller horrifique.
Ethan venant de révéler la vérité aux habitants de Wayward Pines, Pilcher décide de les punir en coupant l'électricité et en ouvrant le portail menant à l'extérieur, au monde dangereux où règnent désormais les « abbies », les aberrations, ces humains qui ont muté en 1800 ans et sont devenus des bêtes sanguinaires.
C'est la panique, des groupes se forment pour tenter de s'abriter, malheureusement, une grande partie de la population se fait dévorer. Mais le danger ne vient pas que de ces aberrations, car l'humain a énormément de ressources dans la cruauté.
Le roman est bourré d'action, il est ultra dynamique, on tremble pour les personnages, limite on a l'impression qu'un humanoïde monstrueux va nous sauter dessus à chaque page.
Encore une fois, j'ai adoré, et même si la fin perd en dynamisme, elle gagne en questionnements et en dilemmes.
Jusqu'où est-on prêt à aller pour sauver l'humanité ? Faut-il se sacrifier ou laisser faire la nature ? Mais aussi, quelle est la meilleure façon de gouverner pour le bien commun ? La dictature ou la (vraie) démocratie ?
