Un début laborieux sur les 150 premières pages. Nous sommes plongés la tête la première dans la violence causée par les cartels au Mexique, ce qui rend la lecture difficile au début. Puis le récit avance, au début lentement, à la même vitesse que la migration difficile de Lydia et son fils vers el norte, puis le rythme s'accélère, on s'attache aux personnages, on partage l'horreur de ce périple inhumain qui finit par nous emporter au fil des pages.
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