Y a pas que les touristes qui fuient la violence des cartels d'Acapulco. On suit le voyage
De Luca et sa mère, miraculeusement rescapés du massacre de leur famille, fuite parmi les migrants sud américains, d'abord sur le toit de 'la bestia', train de marchandise remontant vers 'el norte', refuge précaire contre la police et autres raquetteurs, puis traversée du désert aidés d'un passeur pas trop véreux.
En flash back, l'historique menant au massacre mais tout n'est pas noir, comme la solidarité entre migrants, un réseau de refuges tenus par de bienveillants pasteurs ou la maturité étonnante
De Luca qui n'a pas dix ans.
Il m'a fallu un peu de temps avant d'entrer dans l'histoire.
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