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Critique de Carmendb
Quand un tsunami vous submerge, parfois même à coups de vagues successives très violentes, vous n'avez pas le choix : soit vous continuez à avancer, coûte que coûte, soit vous vous laissez couler. Au début, on survit, plus ou moins bien, puis on réapprend à VIVRE, tout simplement à VIVRE d'une autre façon, en faisant AVEC, ou plutôt, en faisant SANS, sans sa mère, sans son père, sans son conjoint, sans son enfant…
Car oui, comme l'exprime si bien Mélanie, "La vie est riche, elle est belle, même si elle est cruelle parfois. Elle est précieuse, elle a un sens".
Il faut donner du temps au temps, nous répète-t-on, faire son deuil peut durer des mois, des années, nous le savons bien, et tous ceux qui ont été confrontés à la perte d'un être cher se reconnaissent dans le parcours de Mélanie.
Il n'est pas toujours facile de mettre des mots sur nos douleurs. J'ai été émue par ceux de Mélanie, ceux qui criaient son amour, ses souffrances, ses craintes, ses découragements, ses sentiments d'injustice, ses colères, ses envies de mourir.
"Brèves de vie", comme fut brève la vie de cette maman, partie avant ses 40 ans, brèves comme les pages de livre qui se dévorent en une soirée.
Car oui, comme l'exprime si bien Mélanie, "La vie est riche, elle est belle, même si elle est cruelle parfois. Elle est précieuse, elle a un sens".
Il faut donner du temps au temps, nous répète-t-on, faire son deuil peut durer des mois, des années, nous le savons bien, et tous ceux qui ont été confrontés à la perte d'un être cher se reconnaissent dans le parcours de Mélanie.
Il n'est pas toujours facile de mettre des mots sur nos douleurs. J'ai été émue par ceux de Mélanie, ceux qui criaient son amour, ses souffrances, ses craintes, ses découragements, ses sentiments d'injustice, ses colères, ses envies de mourir.
"Brèves de vie", comme fut brève la vie de cette maman, partie avant ses 40 ans, brèves comme les pages de livre qui se dévorent en une soirée.
