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Critique de Chapitre_23
"Si tu demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde."
Au coeur d'une nature sauvage, à la pointe de la Nouvelle-Zélande, vivent Autumn et sa fille Milly. Au pied de l'océan Austral, elles gèrent un camping nommé "Mutunga o te ao" le bout du monde en maori. Elles forment un duo inséparable, jusqu'au jour ou débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption...
Hantées par le passé, mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaitre, se pardonner et s'aimer.
Ce livre est un hymne à la nature.
Une ode à la liberté.
C'est un immense coup de coeur.
Ce récit m'a rappelé combien les femmes sont fortes, combien l'amour de soi est difficile à atteindre mais si précieux. Et surtout, combien il ne faut jamais oublier ses rêves (aussi irréalisables paraissent-ils)
Il a résonné en moi, sur sa façon de décrire avec une tendresse infinie la façon dont on peut se perdre par amour, se plier aux désirs de l'autre à s'en oublier soi-même et à devenir une autre. Il m'a aussi surprise en mettant en lumière le pouvoir des rencontres humaines, ces rencontres qui soignent, ces rencontres dont on se souvient pour toujours.
C'était également un voyage extraordinaire au bout du monde, à la découverte de la faune et de la flore si fragiles et qu'il faut préserver. J'ai maintenant terriblement envie d'aller découvrir la région isolée des Catlins, nager avec les dauphins Hector, observer les manchots, et vivre un lever de soleil à Slope Point. Merci à Mélissa Da Costa, pour ce merveilleux voyage !
Au coeur d'une nature sauvage, à la pointe de la Nouvelle-Zélande, vivent Autumn et sa fille Milly. Au pied de l'océan Austral, elles gèrent un camping nommé "Mutunga o te ao" le bout du monde en maori. Elles forment un duo inséparable, jusqu'au jour ou débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption...
Hantées par le passé, mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaitre, se pardonner et s'aimer.
Ce livre est un hymne à la nature.
Une ode à la liberté.
C'est un immense coup de coeur.
Ce récit m'a rappelé combien les femmes sont fortes, combien l'amour de soi est difficile à atteindre mais si précieux. Et surtout, combien il ne faut jamais oublier ses rêves (aussi irréalisables paraissent-ils)
Il a résonné en moi, sur sa façon de décrire avec une tendresse infinie la façon dont on peut se perdre par amour, se plier aux désirs de l'autre à s'en oublier soi-même et à devenir une autre. Il m'a aussi surprise en mettant en lumière le pouvoir des rencontres humaines, ces rencontres qui soignent, ces rencontres dont on se souvient pour toujours.
C'était également un voyage extraordinaire au bout du monde, à la découverte de la faune et de la flore si fragiles et qu'il faut préserver. J'ai maintenant terriblement envie d'aller découvrir la région isolée des Catlins, nager avec les dauphins Hector, observer les manchots, et vivre un lever de soleil à Slope Point. Merci à Mélissa Da Costa, pour ce merveilleux voyage !
