>
Critique de SebastienDaxi
L'homme a besoin de se sentir superieur , c'est indispensable afin d'avoir plus facilement acces a l'autre sexe, pour se perpetuer, comme dirait Darwin. Et la richesse est la meilleure solution.
Et ce livre est génial car il compare, répertorie, et classe les différentes façons de se distinguer en fonction de nombreux facteurs.
Et on en apprend beaucoup. Dans tel pays on préfère vivre entre gens "supérieurs", dans d'autres on préférera rester dans sa communauté d'origine. Bref les différences sont nombreuses et riches et l'auteur, avec un style clair, nous en fait part sans tomber dans la dénonciation réductrice si habituelle aux sciences sociales depuis Bourdieu.
Il ne juge pas et ça fait du bien, non pas que je trouve normal ou positif les écarts incommensurables de richesses mais je m'estime assez intelligent pour me faire ma propre opinion. Et j'hallucine devant tant de fantaisie comblant tous les domaines de la vie de tous les jours, des habits aux logements, des codes de bienséances aux moyens de locomotion. Un tel montrera sa supériorité en se cachant, l'autre en s'exhibant. Bref on en apprend sur l'humain en général, et sur les différentes civilisations qu'il aura construit en particulier.
Un travail remarquable, bien synthétisé pour le quidam comme moi qui s'est délecté de mieux comprendre toutes les symboliques. Et comme l'Homme voudra toujours acquérir le statut social le plus haut ( dans La Bug humain de Sébastien Bohler, j'ai appris que le striatum, un petit organe dans notre cerveau a habitué l'humain à poursuivre cet objectif dans le but de la survie de l'espèce) autant savoir comment il aime à l'exhiber (ou non) à la plebe dont je fais partie.
Ridicule parfois, censé d'autres fois mais bien loin de la "décence commune” chère à Orwell... Et tant mieux car la décence est souvent ennuyeuse, ce que n'est nullement ce livre que je conseille à toute personne curieuse d'en savoir plus sur ces personnes que, pour la plupart d'entre nous (et de nos ancêtres), nous ne côtoyons jamais… ou de très loin.
Et ce livre est génial car il compare, répertorie, et classe les différentes façons de se distinguer en fonction de nombreux facteurs.
Et on en apprend beaucoup. Dans tel pays on préfère vivre entre gens "supérieurs", dans d'autres on préférera rester dans sa communauté d'origine. Bref les différences sont nombreuses et riches et l'auteur, avec un style clair, nous en fait part sans tomber dans la dénonciation réductrice si habituelle aux sciences sociales depuis Bourdieu.
Il ne juge pas et ça fait du bien, non pas que je trouve normal ou positif les écarts incommensurables de richesses mais je m'estime assez intelligent pour me faire ma propre opinion. Et j'hallucine devant tant de fantaisie comblant tous les domaines de la vie de tous les jours, des habits aux logements, des codes de bienséances aux moyens de locomotion. Un tel montrera sa supériorité en se cachant, l'autre en s'exhibant. Bref on en apprend sur l'humain en général, et sur les différentes civilisations qu'il aura construit en particulier.
Un travail remarquable, bien synthétisé pour le quidam comme moi qui s'est délecté de mieux comprendre toutes les symboliques. Et comme l'Homme voudra toujours acquérir le statut social le plus haut ( dans La Bug humain de Sébastien Bohler, j'ai appris que le striatum, un petit organe dans notre cerveau a habitué l'humain à poursuivre cet objectif dans le but de la survie de l'espèce) autant savoir comment il aime à l'exhiber (ou non) à la plebe dont je fais partie.
Ridicule parfois, censé d'autres fois mais bien loin de la "décence commune” chère à Orwell... Et tant mieux car la décence est souvent ennuyeuse, ce que n'est nullement ce livre que je conseille à toute personne curieuse d'en savoir plus sur ces personnes que, pour la plupart d'entre nous (et de nos ancêtres), nous ne côtoyons jamais… ou de très loin.
