Après le Château de ma Mère, La Gloire de mon Père et
Topaze, le trio d'auteur continue l'adaptation des oeuvres de
Marcel Pagnol sous le patronage de son petit-fils
Nicolas Pagnol qui signe la préface. Il explique qu'il s'agit là d'une oeuvre un peu méconnue de son grand-père qui l'a écrite en 1925 et montée sur scène en 1926. Ce fut d'ailleurs son premier succès.
C'est très bavard et sans doute un peu trop. On se perd dans les divagations d'un professeur qui semble avoir raté sa vie en la consacrant à une thèse qui a prit le dessus sur tout le reste. Il semble être passé totalement à côté de sa vie quand lui apparaît son double en plus jeune. Il y a un côté fantastique qu'on ne connait pas vraiment à cet auteur. J'avoue que malgré tout, la fin est encore un coup de théâtre magistral comme
Pagnol savait le faire.
La problématique reste d'actualité malgré les années qui ont passé. Il y a des oeuvres qui restent intemporelles et qui nous parlent.
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