Quand on s'appelle
Pierre Daninos, c'est-à-dire qu'on est l'auteur des célèbres « Carnets du Major W. Marmaduke Thomson » et d' « Un certain M. Blot », et qu'on se trouve pris comme par mégarde par le mal du siècle, la dépression nerveuse, on ne peut que décrire l'évolution du mal avec ce soupçon de burlesque et d'autodérision qui fit le succès des deux ouvrages cités…
« On m'aurait dit, au plus noir du tunnel où je traînais mon train, que j'en sortirais allègre comme une locomotive folâtre - je ne l'aurais pas cru » déclare-t-il en même temps que d'affirmer que « si les bons sentiments ne font pas les bons livres, ce sont souvent les mauvais souvenirs qui rendent, après coup, les accents les plus burlesques. Même si, on le sent bien dans certains passages du livre, l'expérience a eu des cotés pénibles, merci à vous
Pierre Daninos d'être descendu, non pas aux enfers, mais au 36ème dessous ; et d'en être remonté pour nous faire profiter de votre expérience… Au cas où…
Commenter  J’apprécie         120