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Critique de lecassin


« Appelez-moi chérie », achevé d'imprimer le 10 avril 1972 sur les presses de l'imprimerie Bussière, Saint – Amand (Cher).

« - Comment trouves-tu mes fesses ? demande Francesca.
- Très facilement, répons-je, d'autant plus qu'elles sont extrêmement volumineuses. »
Ça démarre fort dans ce premier chapitre intitulé « CHAPITRE (POUR AINSI DIRE) PREMIER ».
Ça démarre fort, mais notre commissaire favori va bientôt devoir interrompre ses ébats (de laine), alors que quelqu'un frappe à la porte de la chambre qu'il occupe avec Francesca la plantureuse. le brrrrrigadier Poilalat vient lui annoncer que le Vieux, ou le Boss, ou le Dab, ou le Tondu, c'est selon… l'attend à la Banque de France. Pas seul, le patron. Attend également, entre autres, son Excellence Césarin Tavékapalimé, ministre des affaires étrangères de la République de Tathmaziz, en Afrique.

L'affaire est grave : en vacances en camp de toile au Tathmaziz avec son mari, madame Sentrin a perdu un clip de grande valeur.
Plus grave encore : en cherchant celui-ci, madame Sentrin a découvert un diamant ; et quel diamant ! Deux tonnes !
Le hic dans tout ça : le couple Sentrin a été assassiné ! Quelqu'un aurait-il eu vent de l'affaire ? Quelqu'un aurait-il des vues sur le caillou ? Qu'importe ! San Antonio décollera du Bourget à bord d'un avion-cargo pour rapatrier le caillou…

Il y avait un moment que je n'avais pas lu un San Antonio correct. Celui-ci l'est. Bien sûr, comme souvent, Pinuche est absent, mais on retrouve Matthias et un Béru égal à lui-même, et peut être même un peu plus égal que d'habitude…
Une intrigue qui se tient et qu'on suit sans trop d'effort, des marqueurs sanantonionesques quasiment tous présents… manque juste un peu de folie déjantée pour faire de ce bon San-Antonio, un excellent épisode.

Suite au prochain numéro : 980, « T'es beau, tu sais ! »
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