AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de lecassin


« Berceuse pour Bérurier », 41ème volume de la série, paru en 1960, si, comme c’est mon cas on la fait débuter avec « Laissez tomber la fille ».
Une histoire à dormir debout… Mais non, pas vraiment : San-Antonio, accompagné de sa donzelle du moment se rend à l’Alcazar, une salle de spectacle dirigée par un certain M. Poulatrix, où se produit le Petit Marcel, un hypnotiseur .
Quelle n’est pas la surprise du commissaire quand il voit dans les volontaires recrutés en salle la face mafflue de Bérurier, soi-même ; endormi de main de maître sur scène, puis peu après déclaré disparu par sa Berthe ; enfin retrouvé dans la loge de Zobdenib, alias le Petit Marcel, endormi à nouveau, mais sous le sofa…

Un petit San-Antonio des familles, où on sort – et c’est encore rare – des affaires de contre-espionnage post seconde guerre mondiale… Un petit San-Antonio, disais-je… oui, par l’intrigue un peu tirée par les cheveux (même pas grave) ; par Béru, ensuite, endormi une bonne partie du volume et qui, par conséquent, ne tient pas sa place habituelle (c’est plus grave) dans le décor ; enfin un petit rôle (comme souvent) - petit mais décisif - pour Pinaud…
Seuls les calembours sur les noms de personnages sont là ( Edwin Zobdenib, le commissaire Méteaud, le professeur Tessingler ) … Pour les autres ingrédients de la recette, kama-Sutra personnel du commissaire, digressions déjantées, énumérations loufoques, fantaisies diverses, vous repasserez…
Un San-Antonio un peu sec, comme rédigé à la va-vite.
Commenter  J’apprécie          134



Ont apprécié cette critique (12)voir plus




{* *}