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Critique de alberthenri


Tout commence à St Locdu-Le-Vieux, village natal de Bérurier où sont célébrées les obsèques de son oncle Prosper.
Bérurier, accompagné de San-Antonio, et flanqué d'une cousine avare se rendent chez le notaire qu'il leur apprend que Béru et sa cousine héritent des biens de l'oncle dont un "immeuble de rapport".
Or, ledit immeuble est en fait une maison close…

Très bonne cuvée (1967) que ce "Béru et ces dames". Frédéric Dard est très en verve, ne manquant aucune situation cocasse, ni aucun bon mot, sans tomber dans l'outrance scabreuse qui sera plus tard souvent présente dans ses romans .Il faut dire que nous sommes dans cette période faste des années 60/70, que nombre d'amateurs, dont je fais partie, pensent qu'elle est la meilleure de la production de Dard pour ce qu'il est des San-Antonio.

L'édition de 67, constituée d'un volume hors-série relié, est abondamment illustrée par Rogersam, alias Roger Samard, dessinateur humoristique en vogue à l'époque, et accessoirement beau-frère de Dard.

Ce roman, a fait l'objet en 1968, d'une adaptation cinématographique sympathique mais pâlichonne comparée au roman, avec Gérard Barray dans le rôle de San-Antonio, et Jean Richard dans celui de Béru.

Un roman détente très recommandable, qui peut être une bonne entrée en matière à qui voudrait découvrir les personnages emblématiques créés par Frédéric Dard.
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