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Critique de MarcelP


"Dans l'encadrement de la porte, je découvre Bérurier, le gros Bérurier des familles. (...) -Je crois que je m'annonce comme le soleil, dit-il."

On a tous le droit d'être en petite forme, même le Spadassin d'alcôves ! Bis repetita... Quatrième aventure de l'Antonio mignon pour l'année 1953 : Dard se pose en tâcheron de l'écriture et ses idées commencent à se mettre en tire-bouchon.

Dans cette fumeuse histoire d'espionnage, les ingrédients sont présents (greluses accueillantes, blagues à Toto et corrida sur matelas) mais la mayonnaise ne prend pas : y manquent une construction narrative bétonnée, un méchant très méchant et un Sana plus flamboyant. En veule meurtrier et en miso-phallo-macho bas du front ("Cette petite fille (...) n'est pas bête du tout, ce qui est appréciable, l'intelligence n'étant pas le fort des gnères d'une façon générale."), le Commideux de mes saires déçoit un tantinet. Heureusement Bérurier s'annonce comme le soleil !

Peut mieux faire.
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
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