Un
San-Antonio sans le commissaire éponyme, est-ce bien sérieux ? Oui, trop sérieux même. Quand
Frédéric Dard abandonne ses délires habituels pour un propos moins futile, qu'en reste-t-il ? Pas grand-chose en fait, sinon une écriture plate et vulgaire qui d'habitude sauvée par une truculence, une humanité et une joie de vivre communicatives, ne l'est plus ici. La fin, qui donne quelques clés de lecture et l'originalité de ce personnage de vieille rombière ne suffisent pas à faire de ce roman une réussite.
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