Du bon
Frédéric Dard, avec ce qu'il faut de paillardise (pas trop quand même), son vocabulaire coloré, et son histoire prétexte à des portraits fulgurants décrivant la passion humaine : amour, déchéance, méchanceté,... sans tomber dans le manichéisme.
Sans oublier ce désabusement et cet espoir qu'est l'homme.
Merci, Antoine.
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