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Critique de MarcelP
De l'Édam et des dames...
Parce que Bérurier a décidé à se mettre à la pipe (au sens propre! même pour Mister Graduc), notre San-Antonio chéri se retrouve à enquêter au pays des moulins, des tulipes, des putes de fenêtre... et de van Gogh (à ne pas confondre avec Villeroy et Boch!)
Évidemment, seront échangées quelques dragées, dérobés des chefs d'oeuvres en technicolor (c'est le coeur de l'intrigue) et troussée une mignonne batave.
Ces vacances forcées permettent au Gravos de faire provision de bouche et de couche et son idylle avec une accorte vache hollandaise m'a mis en joie. D'autant que Dard, en pleine forme, multiplie les fariboles poilantes et les métaphores audacieuses et hyperréalistes ("Il se jette sur ces nourritures terrestres comme un anus fiévreux sur un thermomètre").
Légère, acidulée et -forcément- court vêtue, cette aventure polis(son)ière est du meilleur acabit... au fond.
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
Parce que Bérurier a décidé à se mettre à la pipe (au sens propre! même pour Mister Graduc), notre San-Antonio chéri se retrouve à enquêter au pays des moulins, des tulipes, des putes de fenêtre... et de van Gogh (à ne pas confondre avec Villeroy et Boch!)
Évidemment, seront échangées quelques dragées, dérobés des chefs d'oeuvres en technicolor (c'est le coeur de l'intrigue) et troussée une mignonne batave.
Ces vacances forcées permettent au Gravos de faire provision de bouche et de couche et son idylle avec une accorte vache hollandaise m'a mis en joie. D'autant que Dard, en pleine forme, multiplie les fariboles poilantes et les métaphores audacieuses et hyperréalistes ("Il se jette sur ces nourritures terrestres comme un anus fiévreux sur un thermomètre").
Légère, acidulée et -forcément- court vêtue, cette aventure polis(son)ière est du meilleur acabit... au fond.
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
