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Critique de Jabberwoky
Ce serait un livre très agréable à lire si le fond n'était pas aussi sexiste.
En toute objectivité, les romances historiques sont souvent un peu rétrogrades et macho, mais j'arrive en général à trouver des histoires ou malgré les rôles bien établis de chacun des genres, les relations amoureuses entre les héros restent respectueuses et pas trop teintée de masculinité toxique / culture du viol.
Là, c'est festival, on démarre avec la première rencontre entre le héros et l'héroïne qui n'est rien d'autre qu'une bonne agression sexuelle des maisons (il lui saute dessus, la plaque au sol et l'embrasse sans autre forme de procès), suivit par toute une série d'évènement improbables où à chaque occasion le héros prend la décision soit d'abuser de l'héroïne, soit de rouler des mécaniques pour prouver à tous que les Mâles devraient diriger (mais évidemment fiche le bazar partout où il passe).
Donc en gros on assiste à une série d'abus et de mauvaises décisions, de la part d'un tyran insensible constipé des sentiments, avec en face une Mère / Infirmière / Ange nourricier, qui réussit non seulement à l'amadouer, et lui faire prendre conscience de ses erreurs, mais aussi à lui pardonner tous ses mauvais traitements. Parce que c'est une Fâââmme, et que les Fâââmmes pardonnent, parce que leur coeur est Grand. Et qu'elle l'Aimeuh. Va falloir m'expliquer quelle femme normalement cortiquée tombe amoureuse d'un homme qui fiche sa vie en l'air en lui expliquant qu'il sait mieux qu'elle ce qu'il faut faire, même à l'époque Régence, mais enfin…
Bref, c'est dommage, parce que l'écriture est agréable, drôle, le style sympa… mais franchement, des romances comme ça, je m'en passe. Je lis encore un livre d'elle, et si l'autrice n'a rien d'autre à proposer comme mode de romance, je passe mon chemin.
En toute objectivité, les romances historiques sont souvent un peu rétrogrades et macho, mais j'arrive en général à trouver des histoires ou malgré les rôles bien établis de chacun des genres, les relations amoureuses entre les héros restent respectueuses et pas trop teintée de masculinité toxique / culture du viol.
Là, c'est festival, on démarre avec la première rencontre entre le héros et l'héroïne qui n'est rien d'autre qu'une bonne agression sexuelle des maisons (il lui saute dessus, la plaque au sol et l'embrasse sans autre forme de procès), suivit par toute une série d'évènement improbables où à chaque occasion le héros prend la décision soit d'abuser de l'héroïne, soit de rouler des mécaniques pour prouver à tous que les Mâles devraient diriger (mais évidemment fiche le bazar partout où il passe).
Donc en gros on assiste à une série d'abus et de mauvaises décisions, de la part d'un tyran insensible constipé des sentiments, avec en face une Mère / Infirmière / Ange nourricier, qui réussit non seulement à l'amadouer, et lui faire prendre conscience de ses erreurs, mais aussi à lui pardonner tous ses mauvais traitements. Parce que c'est une Fâââmme, et que les Fâââmmes pardonnent, parce que leur coeur est Grand. Et qu'elle l'Aimeuh. Va falloir m'expliquer quelle femme normalement cortiquée tombe amoureuse d'un homme qui fiche sa vie en l'air en lui expliquant qu'il sait mieux qu'elle ce qu'il faut faire, même à l'époque Régence, mais enfin…
Bref, c'est dommage, parce que l'écriture est agréable, drôle, le style sympa… mais franchement, des romances comme ça, je m'en passe. Je lis encore un livre d'elle, et si l'autrice n'a rien d'autre à proposer comme mode de romance, je passe mon chemin.
