AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bdelhausse


Voilà un tome qui méritera bien quelques relectures... Les détails dans les cases (ce qui était déjà le cas dans le tome 2) et les références multiples font qu'on loupe des tas de choses. C'est hyper riche, en rebondissements, en érudition, en allusions historiques, etc.

Ninn trouve un journal de bord en nettoyant et rafistolant le fanal (bien qu'il semble avoir la capacité de se guérir tout seul). Celui d'Eponine Malvenüe... en 1924. Cette aviatrice intrépide raconte le survol des Grands Lointains. Ninn apprend qu'une rame complète a disparu sur la ligne noire en 1910, la veille de la crue historique de la Seine. Mais voilà que des cartes postales réapparaissent, représentant l'Hôtel Venezia... inventé par Hector Guimard, à qui on doit les entrées de métro parisien, et un étrange monument à la mémoire des disparus de 1910...

Ninn et son tigre vont plonger dans le rêve fou de quelques illuminés qui voyaient dans les Grands Lointains un lieu touristique... C'est indescriptible et ébouriffant. Sur ce, je m'en vais relire le tome...
Commenter  J’apprécie          60



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}