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Critique de bdelhausse
Dès le départ du tome, on sent que l'on est dans une autre logique que dans les 4 premiers tomes. On repart à zéro dans un nouveau cycle, c'est du moins l'impression que l'on peut avoir. Couleurs différentes. Atmosphère différente.
On est dans les Grands Lointains. A Magic City. Lors d'épisodes précédents, Ninn a visité l'hôtel construit dans les Grands Lointains. Non loin de là, un parc d'attraction, réplique magique d'un parc parisien, se dresse. Il est à l'abandon... enfin... pas si à l'abandon que cela.
Ninn et ses amis vont croiser d'autres enfants et essayer de s'extraire de Magic City où un grand méchant semble prendre un malin plaisir à capturer les enfants afin de se nourrir de leurs rêves.
Le propos, le traitement et l'ambiance du récit m'ont trop fait penser à Seuls. Depuis plusieurs tomes, on a le même masque que celui porté par Coupe-Chou dans Seuls. Et ici, la bande d'enfants est trop semblable. Même si la série Ninn possède un ton propre et une dynamique propre, j'ai trouvé les points de convergence et de tangence trop nombreux.
On est dans les Grands Lointains. A Magic City. Lors d'épisodes précédents, Ninn a visité l'hôtel construit dans les Grands Lointains. Non loin de là, un parc d'attraction, réplique magique d'un parc parisien, se dresse. Il est à l'abandon... enfin... pas si à l'abandon que cela.
Ninn et ses amis vont croiser d'autres enfants et essayer de s'extraire de Magic City où un grand méchant semble prendre un malin plaisir à capturer les enfants afin de se nourrir de leurs rêves.
Le propos, le traitement et l'ambiance du récit m'ont trop fait penser à Seuls. Depuis plusieurs tomes, on a le même masque que celui porté par Coupe-Chou dans Seuls. Et ici, la bande d'enfants est trop semblable. Même si la série Ninn possède un ton propre et une dynamique propre, j'ai trouvé les points de convergence et de tangence trop nombreux.
