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Critique de Cielvariable
J'ai apprécié ce 4e tome autant que le trois autres romans de James Dashner. Il a un rythme enlevant, des rebondissements fréquents et il présente une réalité terrible qui donne froid dans le dos. Ce tome relate les événements se déroulant avant les trois tomes sortis précédemment, entre autres les éruptions solaires (et leurs conséquences directes, par exemple inondations et tsunamis) qui ont décimé une grande partie de la population mondiale. Cette partie est extrêmement réaliste et brosse un portrait sombre mais plausible des situations dans lesquelles se retrouveraient d'éventuels survivants de la ville de New York. Ensuite, c'est la genèse de l'apparition du fameux virus de la Braise, dont les conséquences perdurent dans les autres récits, qui est racontée. Les personnages ne sont évidemment pas les mêmes que dans les autres romans, mais on s'y attache très rapidement. C'est à travers les yeux et les souvenirs de Mark que l'on vit cette aventure préalable aux tomes 1 à 3. Ce personnage d'adolescent/jeune adulte (une constante dans tous les romans) s'associe à un groupe d'individus pour survivre (un ancien militaire, une infirmière militaire, une amie d'enfance ainsi que d'autres jeunes). Il s'efforce de demeurer fort et concentré malgré la suite d'horreurs sans nom qu'il aura à affronter pour survivre. La fin du roman est intéressante car elle laisse deviner ce qui a servi de prémisses au tome 1.
Sans être de la grande littérature, ce roman jeunesse est bien traduit, l'intrigue est bien ficelée et elle gardera sans aucun doute toute l'attention du jeune - et du moins jeune- lecteur, les courts chapitres s'enchaînent à une vitesse fulgurante et l'action est au rendez-vous. Comme je l'avais noté pour les précédents tomes, ce qui est le plus intéressant de cette série est que les personnages principaux sont des jeunes hommes qui sont constamment dans l'action. Cela plaît davantage aux adolescents qui ne sont pas toujours attirés par la littérature jeunesse ou par la lecture en général. Cette lecture n'est tout de même pas pour les coeurs sensibles, car il y a plusieurs images horrifiantes, en cela le roman ressemble davantage au troisième tome dans lequel le virus de la Braise ainsi que les personnes atteintes étaient plus présents que dans les tomes 1 et 2.
Je recommande vivement la lecture de ce roman aux adolescents et aux adultes aimant les dystopies avec beaucoup d'action.
Sans être de la grande littérature, ce roman jeunesse est bien traduit, l'intrigue est bien ficelée et elle gardera sans aucun doute toute l'attention du jeune - et du moins jeune- lecteur, les courts chapitres s'enchaînent à une vitesse fulgurante et l'action est au rendez-vous. Comme je l'avais noté pour les précédents tomes, ce qui est le plus intéressant de cette série est que les personnages principaux sont des jeunes hommes qui sont constamment dans l'action. Cela plaît davantage aux adolescents qui ne sont pas toujours attirés par la littérature jeunesse ou par la lecture en général. Cette lecture n'est tout de même pas pour les coeurs sensibles, car il y a plusieurs images horrifiantes, en cela le roman ressemble davantage au troisième tome dans lequel le virus de la Braise ainsi que les personnes atteintes étaient plus présents que dans les tomes 1 et 2.
Je recommande vivement la lecture de ce roman aux adolescents et aux adultes aimant les dystopies avec beaucoup d'action.
