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Critique de Coco574
Avec ce premier tome de la saga familiale la poussière du temps, Michel David nous plonge dans l'univers d'une famille québécoise entre juillet 1941 et 1952. Jeanne est hospitalisée. Sa voisine de lit reçoit la visite de son neveu, Maurice, qui tombe immédiatement amoureux de la jeune fille. Très rapidement le couple se marie et emménage ensemble chez la mère de Maurice à Montréal. le jeune homme montre très rapidement son vrai visage, un jeune homme colérique, égocentrique, radin, colérique voire violent.
Michel David aborde l'exode rural. Jeanne et la plupart de ses frères et soeurs quitteront la campagne et la ferme de leurs parents pour s'installer à la ville pour gagner leur vie.
L'auteur brosse le portrait d'une famille pauvre stéréotypée avec une mère qui enchaîne neuf grossesses, qui reste coincée à la maison pour élever ses enfants et assurer les tâches ménagères. Elle n'a pas son mot à dire et reste dépendante de son mari. L'auteur axe son roman sur le couple et ses relations, leur vie difficile, ils tirent le diable par la queue.
J'ai été ravie de découvrir la vie montréalaise de l'époque, les tournures de phrases surprenantes et marrantes. C'est un vrai témoignage social !
Michel David aborde l'exode rural. Jeanne et la plupart de ses frères et soeurs quitteront la campagne et la ferme de leurs parents pour s'installer à la ville pour gagner leur vie.
L'auteur brosse le portrait d'une famille pauvre stéréotypée avec une mère qui enchaîne neuf grossesses, qui reste coincée à la maison pour élever ses enfants et assurer les tâches ménagères. Elle n'a pas son mot à dire et reste dépendante de son mari. L'auteur axe son roman sur le couple et ses relations, leur vie difficile, ils tirent le diable par la queue.
J'ai été ravie de découvrir la vie montréalaise de l'époque, les tournures de phrases surprenantes et marrantes. C'est un vrai témoignage social !
