Il s'agit d'un discours de
Régis Debray sur l'idée de la frontière, qui de façon très juste est comparée à la peau ou à une écluse : elle doit laisser entrer ce qui est bon et empêcher de passer ce qui est nuisible. le style est parfois un tantinet désuet mais c'est ce qui fait son charme très troisième république ! J'ai aimé les passages sur l'antiquité et notamment les dieux termes. le discours a été, me semble-t-il, prononcé au Japon, ce qui explique quelques apostrophes destinées aux habitants de ce pays.
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