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Critique de Chocolatiine
Souvenez-vous, à la fin du premier tome, nous avions laissé notre cher Robinson enfin de retour en Angleterre, après plusieurs décennies passées dans son île. Hélas, il semblerait que la vie tranquille de bon père de famille ne lui convienne guère. Les voyages aventureux lui manquent, il s'ennuie et, s'il décide de ne point se lancer dans un périple inconsidéré tant que sa femme est là pour le modérer, un veuvage inattendu fait resurgir ses rêves.
C'est ainsi qu'en 1694, Robinson prend de nouveau le large, avec son neveu, pour la seconde moitié, bien moins connue, de ses aventures. Il n'a plus vingt ans mais qu'importe? Après quelques sauvetages, le navire fait une halte dans la fameuse île et nous découvrons ce que sont devenus les trois Anglais et les dix-sept Espagnols pendant l'absence de leur "monarque". Puis, hop ! on repart. Et là, assurément, on ne s'attendait pas à faire un pareil tour : le Brésil, Madagascar, l'Inde, les Philippines, Taïwan, la Chine, la Russie... ! L'itinéraire de retour en Angleterre s'allonge, s'allonge, et, moi, j'arrivais plus à lâcher le livre !
Ce second tome, vraiment, fait rêver, surtout en cette période où les voyages sont encore limités. En tout, cette fois, Robinson est resté à l'étranger pendant dix ans et c'est un véritable plaisir pour le lecteur que de le suivre dans autant de contrées différentes !
C'est ainsi qu'en 1694, Robinson prend de nouveau le large, avec son neveu, pour la seconde moitié, bien moins connue, de ses aventures. Il n'a plus vingt ans mais qu'importe? Après quelques sauvetages, le navire fait une halte dans la fameuse île et nous découvrons ce que sont devenus les trois Anglais et les dix-sept Espagnols pendant l'absence de leur "monarque". Puis, hop ! on repart. Et là, assurément, on ne s'attendait pas à faire un pareil tour : le Brésil, Madagascar, l'Inde, les Philippines, Taïwan, la Chine, la Russie... ! L'itinéraire de retour en Angleterre s'allonge, s'allonge, et, moi, j'arrivais plus à lâcher le livre !
Ce second tome, vraiment, fait rêver, surtout en cette période où les voyages sont encore limités. En tout, cette fois, Robinson est resté à l'étranger pendant dix ans et c'est un véritable plaisir pour le lecteur que de le suivre dans autant de contrées différentes !
