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Critique de marosaga
Un bel exercice que cette version épistolaire de la guerre de Sécession. D'un côté le point de vue des abolitionnistes, de l'autre celui des Confédérés ; tout cela sous forme de lettres ou d'ordres ou de compte- rendus d'opérations. Et, pour donner du piquant à ce récit de quelque 500 pages, le point de vue de "filles de rage " qui se sont engagées dans ce conflit. Jean -Laurent del Socorro met en scène personnages historiques , tels Lincoln, Grant, Sherman, Davis, Jackson...
Au milieu, interviennent " Les amoureux qui auraient mieux fait de rester chez eux", " l'officier qui lutte conte la folie" et Caroline, la fille de rage, partie de son Sud natal avec un couple d'esclaves de son père, pour s'engager avec les Unionistes. Les chapitres, courts et variés alternent de telle sorte que ce "pavé" se lit facilement, sans que l'auteur ait fait abstraction du côté horrible de cette guerre fratricide et
terriblement meurtrière. Une petite pointe d'humour finit d'en faire un récit passionnant .
Au milieu, interviennent " Les amoureux qui auraient mieux fait de rester chez eux", " l'officier qui lutte conte la folie" et Caroline, la fille de rage, partie de son Sud natal avec un couple d'esclaves de son père, pour s'engager avec les Unionistes. Les chapitres, courts et variés alternent de telle sorte que ce "pavé" se lit facilement, sans que l'auteur ait fait abstraction du côté horrible de cette guerre fratricide et
terriblement meurtrière. Une petite pointe d'humour finit d'en faire un récit passionnant .
