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Critique de Luria
Les six compagnons de la raclette sont sept.
Sept!
Exceptionnellement ? Ou alors mes calculs sont erronés ? Sept enfants donc sept faces d'aventures donc tout autant de livres ?
On continue dans cet opus à tenter d'épargner des vies dans le passé (étrange que le présent ne soit pas changé, ce devait être des PNJ, personne n'est devenu tyran, savant fou ou serial killer) et récupérer l'ombre (parce que ça a un peu loupé le livre précédent).
Bon. J'avoue j'ai plus de mal quand c'est Monsieur aux commandes. Trop de dialogues, trop de références à des livres ou séries (une par oeuvre suffit), un nouveau personnage fatigant à lire avec son argot stephanois. Mais en même temps plus d'informations historiques et régionales. J'ai encore diagonalé de la lecture rapide en fin de livre. Mais je suis toujours aussi contente que cette collection existe. du choix de la police d'écriture à l'histoire racontée, tout est fait pour ne laisser aucun lecteur de côté.
Sept!
Exceptionnellement ? Ou alors mes calculs sont erronés ? Sept enfants donc sept faces d'aventures donc tout autant de livres ?
On continue dans cet opus à tenter d'épargner des vies dans le passé (étrange que le présent ne soit pas changé, ce devait être des PNJ, personne n'est devenu tyran, savant fou ou serial killer) et récupérer l'ombre (parce que ça a un peu loupé le livre précédent).
Bon. J'avoue j'ai plus de mal quand c'est Monsieur aux commandes. Trop de dialogues, trop de références à des livres ou séries (une par oeuvre suffit), un nouveau personnage fatigant à lire avec son argot stephanois. Mais en même temps plus d'informations historiques et régionales. J'ai encore diagonalé de la lecture rapide en fin de livre. Mais je suis toujours aussi contente que cette collection existe. du choix de la police d'écriture à l'histoire racontée, tout est fait pour ne laisser aucun lecteur de côté.
