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Critique de Ladybirdy


Prisonnières, en Apesanteur, la Sonate de Sarah, elles sont Imbibées, ça tourne à l'Obsession, Noyées l'une dans l'autre.
P. A. S. S. I. O. N.
La passion.
Deux femmes qui s'aiment.
Dans l'obsession l'une de l'autre.
Les peaux se cherchent, se trouvent, se manquent.
Tango de l'amour.

La passion.
Folle, destructive, asphyxiante, bouleversante.
Elles s'aiment. Elles se veulent. Ne peuvent vivre l'une sans l'autre. Sans l'autre, elles n'existent plus.

C'était un printemps comme un autre, le printemps à rendre mélancolique n'importe qui.

Elle aime une enfant, une amie, une femme, libre et légère, puissante, volcanique. Vertige de l'amour.
C'est Sarah. La Sublime.

La passion. Toujours elle. Un carrefour à route unique : la passion. L'amour n'a pas de place. Tout doit être fort et brûlant. Elles s'aiment comme des folles.
Elles se mangent les yeux, les coeurs, les corps. Elles se dévorent comme des ogresses affamées.

La passion.
Sorry angel. Je t'ai suicidée mon amour.
Le compte avait commencé
A rebours
Etait-ce vertige déveine?
Qui sait?
Un voyage un aller seul
Au long court
D'où l'on ne revient jamais

Ça raconte Sarah, imprévisible, ondoyante, déroutante, versatile, terrifiante comme un papillon de nuit.

C'était un printemps comme un autre, le printemps à rendre mélancolique n'importe qui.
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