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Critique de perlipopette
Dans un huis clos étouffant, Edouard Roussel va « prendre en otage » le père de l'église pour lui faire avouer les violences subies par son fils Benjamin.
Un livre oppressant, qui détail tout avec minutie, la vie passée de chacun., leurs conséquences sur le présent.
Édouard a besoin de tout décortiquer et de tout entendre pour pouvoir se pardonner de ne pas avoir vu.
Je trouve l'écriture extrêmement maîtrisée, on a même parfois la nausée tellement les détails racontés sont insupportables. On se demande à chaque phrase si c'est nécessaire d'aller si loin et de dire autant, mais oui c'est nécessaire. L'écriture nous force à faire face à l'horreur, nous sommes forcés de plonger dedans et de ne pas rester en surface.
Je m'interroge cependant sur la toute fin, le dernier chapitre. Je ne suis vraiment pas sûre que ça n'apporte pas plutôt une confusion générale . Me voilà totalement incrédule voire dubitative.
Il faut être accroché pour lire ce livre. C'est éprouvant.
Un livre oppressant, qui détail tout avec minutie, la vie passée de chacun., leurs conséquences sur le présent.
Édouard a besoin de tout décortiquer et de tout entendre pour pouvoir se pardonner de ne pas avoir vu.
Je trouve l'écriture extrêmement maîtrisée, on a même parfois la nausée tellement les détails racontés sont insupportables. On se demande à chaque phrase si c'est nécessaire d'aller si loin et de dire autant, mais oui c'est nécessaire. L'écriture nous force à faire face à l'horreur, nous sommes forcés de plonger dedans et de ne pas rester en surface.
Je m'interroge cependant sur la toute fin, le dernier chapitre. Je ne suis vraiment pas sûre que ça n'apporte pas plutôt une confusion générale . Me voilà totalement incrédule voire dubitative.
Il faut être accroché pour lire ce livre. C'est éprouvant.
