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Critique de Marti94
Voilà un album qui aurait pu s'intituler "Martine rêve" car "Martine au cirque" n'est pas "Martine va au cirque". Vous avez compris, elle rêve d'y aller et d'être sur la piste.
On est loin de la petite fille classique et trop sage puisque sa chambre ressemble plutôt à celle de Wendy dans Peter Pan. Cela donne un côté fantastique à cet album datant de 1956 puisque la poupée et les peluches de Martine s'ennuient. Elle les embarque donc en rêve au cirque où ils vont bien s'amuser.
Elle va mettre de belles robes, autres costumes et accessoires pour le spectacle et n'a pas peur de la scène. Il est bon de le préciser car cela veut dire qu'on peut avoir peur surtout quand il faut jouer les funambules après le roulement de tambour.
Au cirque, les clowns ont une place centrale mais il y a aussi beaucoup d'animaux (surtout à cette époque).
Gilbert Delahaye s'attelle donc à l'anthropomorphisme avec les lions, les éléphants et l'ours, tous drôles et sympathiques. Il y a aussi le chien Patapouf qui a envie de faire un numéro de patins à roulettes. Je trouve qu'il a bien raison même si on n'a jamais vu cela au Cirque Merveilleux.
Avec cet album, on est dans l'extraordinaire plus que dans la banalité alors qu'il fait partie des tous premiers albums très ancrés dans le quotidien. La fillette invente sa propre histoire en plus d'en être la protagoniste. Elle fait donc une part belle à l'imaginaire tout en rappelant au réveil à ses amis en peluche qu'il faut vite se débarbouiller pour aller à l'école.
Challenge Riquiqui 2023
Challenge Multi-défis 2023
Challenge XXème siècle 2023
On est loin de la petite fille classique et trop sage puisque sa chambre ressemble plutôt à celle de Wendy dans Peter Pan. Cela donne un côté fantastique à cet album datant de 1956 puisque la poupée et les peluches de Martine s'ennuient. Elle les embarque donc en rêve au cirque où ils vont bien s'amuser.
Elle va mettre de belles robes, autres costumes et accessoires pour le spectacle et n'a pas peur de la scène. Il est bon de le préciser car cela veut dire qu'on peut avoir peur surtout quand il faut jouer les funambules après le roulement de tambour.
Au cirque, les clowns ont une place centrale mais il y a aussi beaucoup d'animaux (surtout à cette époque).
Gilbert Delahaye s'attelle donc à l'anthropomorphisme avec les lions, les éléphants et l'ours, tous drôles et sympathiques. Il y a aussi le chien Patapouf qui a envie de faire un numéro de patins à roulettes. Je trouve qu'il a bien raison même si on n'a jamais vu cela au Cirque Merveilleux.
Avec cet album, on est dans l'extraordinaire plus que dans la banalité alors qu'il fait partie des tous premiers albums très ancrés dans le quotidien. La fillette invente sa propre histoire en plus d'en être la protagoniste. Elle fait donc une part belle à l'imaginaire tout en rappelant au réveil à ses amis en peluche qu'il faut vite se débarbouiller pour aller à l'école.
Challenge Riquiqui 2023
Challenge Multi-défis 2023
Challenge XXème siècle 2023
