Carnets secrets

LA MALADIE, MA « MALAVIE »QUI ME FAIT AIMER LA VIE
 

La drogue : il faut en parler AVANT qu’elle ne devienne un problème. 

J’ai besoin de poser les mots pour abandonner les maux, les laisser enfin m’abandonner. 

Seize grammes, c’est un peu moins que le poids de l’âme, vingt et un grammes selon MacDougall. 

Un mardi pas comme les autres. Mon honneur ne pèse pas plus de 16 grammes. 

L’avion vole, moi, je décolle : je me dédouble.

Mal de l’air, mal de vivre… 

Ton homme t’embrasse de tout son cœur, de toute son âme et de sa tête aussi.

L’ombre de mon amour sera sur chacun de tes pas. Quoi qu’il arrive, je partirai heureux de notre amour adulte, de notre amour passion, de nos raisons qui ont bien raison d’avoir raison d’imaginer notre avenir et une vie que ne peuvent s’offrir que ceux qui ont conscience de la chance de s’être rencontrés, de se rencontrer encore, de se rencontrer toujours, dans tous nos projets et nos désirs de famille. Nos vies sont liées, je ne suis en place qu’à côté de toi, la femme qui m’accompagne, moi, l’homme qui t’accompagne. 

Bien évidemment, je repense à ces vers : « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant, d’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime…  »

Je me remémore ce qu’avait dit un jour un invité sur le plateau : « L’amour n’est pas seulement une question de personnes, c’est aussi est une question de bons moments, les choses arrivent à l’heure. »

L’heure a sonné, je suis prêt pour l’amour. Je suis un père et je veux désormais être l’homme d’une femme.